Image de crédit : ESO/José Francisco Salgado (josefrancisco.org)
Notre analyse hebdomadaire des risques géopolitiques pour le 12 septembre 2019. Grâce à l'analyse de l'horizon, chaque semaine, nous recueillons des signaux faibles - et moins faibles -. Ceux-ci indiquent des problèmes nouveaux, émergents, croissants ou stabilisants. En conséquence, ils indiquent comment les tendances ou les dynamiques évoluent.
- Le Red Team Analysis Weekly - 21 janvier 2021
- Comment la Chine pourrait gagner la guerre contre la pandémie de Covid-19
- L'Ouest est-il en train de perdre le réchauffement de l'Arctique ?
- S'adapter à un monde qui brûle ?
- Une "Apocalypse Now" globale, à la mode californienne
- La Chine Arctique: vers de nouvelles guerres du pétrole dans un Arctique en réchauffement?
- Scénarios pour naviguer la pandémie de COVID-19 et ses futurs possibles (1)
- Qu'est-ce que le risque politique?
- Exprimer et comprendre une langue d'estimation
Ici, nous nous concentrons sur les signaux qui pourraient avoir un impact favorable ou défavorable sur les acteurs privés et publics de la sécurité internationale. Ce domaine est largement connu sous différents noms : par exemple, les changements mondiaux, la sécurité nationale et internationale, ou l'incertitude politique et géopolitique. En termes de gestion des risques, l'étiquette utilisée est celle de risques externes.
Balayage d'horizon (Horizon scanning), signaux faibles et biais
Nous caractérisons des signaux comme faibles, lorsqu'il est encore difficile de les discerner parmi un vaste éventail d'événements. Cependant, nos biais cognitifs altèrent souvent notre capacité à mesurer la force d'un signal. Par conséquent, la perception de la force d'un signal variera, en fait, en fonction de la conscience de l'acteur. Au pire, les biais cognitifs peuvent être si forts qu'ils bloquent complètement l'identification même du signal.
Dans le domaine de la prévision, de la prévention et de l'alerte précoce stratégiques, de la gestion des risques et des études prospectives, il appartient aux bons analystes de faire des scans ou balayages d'horizon. Ainsi, ils peuvent percevoir et identifier les signaux. Les analystes évaluent ensuite la force de ces signaux en fonction de risques et de dynamiques spécifiques. Enfin, ils livrent leurs conclusions aux utilisateurs. Ces utilisateurs peuvent être d'autres analystes, leur hiérarchie ou des décideurs.
Vous pouvez trouver une explication plus détaillée dans l'un de nos articles de fond : Balayage d'horizon (horizon scanning) et veille pour l'alerte précoce : Définition et pratique.
Les sections du scan
Chaque section se concentre sur les signaux liés à un thème spécifique :
- monde (politique internationale et géopolitique) ;
- économie ;
- la science, y compris la science de l'information quantique, ;
- l'analyse, la stratégie et l'avenir ;
- L'IA, la technologie et les armes ;
- l'énergie et l'environnement.
Cependant, dans un monde complexe, les catégories ne sont qu'un moyen pratique de présenter des informations, alors que faits et événements interagissent au-delà des frontières.
Les informations recueillies (crowdsourcing) ne signifient pas que nous les cautionnons.
Image en vedette : Quatre antennes ALMA sur la plaine de Chajnantor - ESO/José Francisco Salgado (josefrancisco.org)